L’éducation et la formation à l’épreuve (essentiellement temporelle) de l’autre

par Jacques Ardoino

En juillet 2003, Jcques Ardoino écrivait l’éditorial du n°45/46 de la revue Pratiques de Formation/Analyses, numéro intitulé « Regards autres sur l’éducation en Chine  »  

Début de l’éditorial :

Au delà des idées reçues et des gadgets touristiques caractérisant la post-modernité, voyager n’est pas seulement se déplacer dans l’espace, en quête d’étonnements, déjà propres à nous interroger et à susciter une curiosité enrichissante, c’est aussi, et surtout, se confronter, de façon plus temporellement vécue, aux surprises nées de la rencontre avec l’autre. Plus que l’espace, nous nous retrouvons alors dans le cours d’un temps, explicitement entendu comme durée. L’autre, dès lors, inscrit, à son tour, dans une temporalité personnelle et culturelle différente, se spécifie par l’hétérogénéité radicale dont il témoigne par rapport au sujet vis à vis duquel il se situe toujours. Bien entendu dans ce jeu relationnel pluriel chacun est, tout à la fois, sujet, en soi et pour soi, et autre, pour d’autres.

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